Une belle histoire coquine que j’aime bien

L’histoire date donc de la fin de ma 17è année. Une soirée alcoolisée m’avait amenée à rencontrer Patricia, et à échanger nos numéros. Elle m’écrivait le lendemain, sans trop se souvenir de moi mais souhaitant me revoir. Un premier rendez-vous se mit en service. Nous irions manger, puis boire un coup. J’attendais impatiemment, secteur que les quelques images que j’avais d’elle restaient floues. Je me préparais, un ensemble vert orné de dentelles se laissait entrevoir dans mon décolleté. Je n’avais pas couvert mon cou, malgré le froid, afin de dégager la vue de ma poitrine. Mes intentions quant à cette soirée étaient claires, peu importe si ma compagne n’était pas notamment plaisante que dans ma mémoire. J’arrivais au point de rendez-vous, la nuit commençait à tomber, et je l’ai vue. Ravissante. Petite à croquer, une peau café au lait qui me fit frissonner. De longs nichons chocolats ondulaient fièrement autour d’un minou bonne, d’une bouche sexy qui ne demandait qu’à être embrassée. Je ne pouvais deviner les formes de ses loches mais son jean moulait de petites courbes bien fermes et logement rondes. Je me voyais déjà, m’approchant, l’enlaçant dans mes bras… Elle plongeait ses yeux de braise dans les miens, et la passion prenait le dessus. Je l’embrassais, mordais ses lèvres, sa langue, son possible en serrant son corps contre le mien. Au joli bien de la rue j’ouvrais son manteau noir et glissais mes mains dans son dos, appuyant nos poitrines par instants. Sa façon de se laisser faire, son assurance lorsqu’elle tournait sa langue dans ma bouche, c’était une véritable splendide garce comme je les aime. Elle m’énervait, j’aimais jouer le rôle de la soumise, et elle me l’avait pris. Je voulais lui rendre la pareille, lui montrer ce que ça allait lui coûter que de m’avoir agacée. J’agrippais ses nichons de toutes mes forces, ça lui plaisait. La teen elle en voulait elle également. En baissant mes yeux j’ai réalisé la vue que j’avais sur ses petits loches pointus et je me suis sentie envahie d’une vague de chaleur et d’excitation. J’ai pris sa main et l’ai entraînée jusqu’au tram. L’ayant raccompagnée à son domicile le soir de notre rencontre, je savais où était son appartement et décidais de nous y conduire. Je crois que plusieurs membres nous ont lancé des remarques salaces tout au long de que je profitais d’elle, mais nous n’y prêtions pas attention. Je sentais les frissons devant sa peau, et ses tétons qui se dressaient le maximum envers les miens. En un rien de temps nous étions chez elle, et dans le calme de l’ascenseur je glissais ma main dans son jean. Elle était trempée, alors j’alternais entre sa bouche et son shorty, afin de lui faire goûter sa cyprine. J’y goûtais notamment, elle était transcendante, en prenant en compte un petit goût sucré. Je claquais la porte de son appartement et nos ébats reprirent.

-Je la plaquais face à le mur, prenais ses seins dans ma bouche et glissais un doigt dans sa mignonne foune, puis deux, et enfin un troisième. Elle haletait, je sentais ses tétons se dresser entre mes lèvres. Je me retirais d’un coup.  » ; ; Fais-moi un strip-tease. » ; ; lui demandais-je, froidement. » ; ; Je ne sais pas si elle était perturbée par mon ton ou par son excitation, mais elle se déshabilla sans attendre. Elle jeta son manteau dans l’entrée. De dos, elle remuait ses jambes le maximum en baissant son jean, jusqu’à l’enlever complètement, et dévoilait un petit cul professionnel habillé d’une fine dentelle. Elle s’approcha et se mit à califourchon sur moi, me laissant accès à ses divines mamelles. Je m’empressais de les piner dans mes mains et je retirais son débardeur. Hôtesse comme son maximum, elle ne portait pas de soutien-gorge. En caressant ses jambes je sentais le désir me gagner comme jamais… je la portais jusque dans la garconniére, l’allongeais devant le lit. Alors que je retirais à mon tour mes vêtements, dévoilant une généreuse poitrine et mon derche son maximum lisse, elle me désigna la porte de son placard.

J’y trouvais un gode et l’instrument qu’il me fallait, des menottes. J’accrochais cette flamboyante vicieuse aux barreaux de son lit, comme une vulgaire poupée, jambes et bras écartés. Je glissais ma tête devant son ventre jusqu’à atteindre son intimité et là, tenant ses cuisses pour toujours la dominer, je la léchais à n’en plus savoir. Ma langue allait et venait sans cesse, et sa respiration me parvenait saccadée. Je joignais quelques doigts, et je m’apprêtais à ravager ma revanche sur cette soumise. Je saisis le gode et le passais face à sa vulve, l’imprégnant de mouille. Elle s’attendait certainement à ce que je la pénètre avec, pour lâcher son excitation et sa jouissance, enfin. Mais elle éclata dans ma bouche, à la surprise du jouet dans son petit trou, sans préparation. Ce n’était pas un coup d’essai mais l’ensemble mes caresses l’avaient menée au bord de l’explosion, et cette pénétration soudaine avait eu raison d’elle. Je sentais son corps trembler sous mes derniers coups de langue. Ma fin à moi était proche elle notamment ; je m’asseyais sur son doux visage, sans la détacher. Elle compris et malgré la fatigue elle me prodigua un court cunnilingus qui me fit à mon tour jouir comme jamais. Je l’embrassais langoureusement, goûtant ma motivation, avant de la libérer.

J’en désires moi également, je me tourne complètement sur elle. Un jour elle m’a dit qu’elle aimait faire les 69. Je ne l’en ne prive pas. J’aime cette posture aussi. Mes cuisses écartées prennent possession d’elle. Je sens ses seins défaits devant mes cuisses, devant mon bas ventre. Je suis toute à elle. Enfin elle surtout me broute la chatte. C’est ville mieux que la première fois. Elle y a prit goût, comme moi à mes débuts. Mon ventre se contracte sous sa pétri particulière. Ses mains sont sur mes loches. Elle sait en payer ce qu’elle veut ; c’est toujours le bien venu. Surtout qu’elle a pris des initiatives que j’adore. Elle aime me toucher profondément : j’aime ça. Je pense qu’elle y met jusqu’à trois doigts. C’est beaucoup pour moi qui n’aime plus les tiges ; J’ai eu le souffrance une fois de lui dire qu’ j’aimais, avant, me faire doigter le croupion. Elle me pétri quelques fois, le palpe autour, dessus et depuis peu dedans. J’adore qu’elle entre un ou deux doigts dans mon intimité de derrière. Elle en profite, la pétasse pour me le faire génèralement. Je le lui rends notamment. Nous nous caressons les culs conjointement. Il nous arrive presque toujours d’en jouir. Je ne demande pas toujours qu’elle se risque à des inventions plus obscènes Je suis surtout prête à la confier aller au travers de une autre en ma parution pour apprendre de délicates maniéres de ravager et de jouir. Elle en sera capable rien que pour notre amour. J’adore Laetitia et son sexe. J’en profite toute la nuit au point que nous avons peine à nous lever afin de repartir. Je suis sure qu’elle se branlera toujours dans la voiture qui commence à sentir la cyprine à force d’y être exposée.

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